Merci d’avoir participé. Vous l’avez tous repérée derrière les buissons. Il s’agit bien d’une poule faisane.
Elle se nourrissait sereinement sur le côté du chemin.
Lorsqu’elle a entendu le bruit de mon appareil photo, elle a tourné la tête vers moi.
Je suis restée immobile, ne voulant pas l’effrayer, puis, elle s’est remise à manger.
Mais elle n’était pas seule, en tournant la tête, je vis son compagnon.
Ici, il attrape une fleur.
Malgré le fait que j’étais dissimulée, dès qu’il m’a entendue et aperçue, il s’est aplati.
Puis, il s’est redressé en fixant l’endroit où je me trouvais. Il était bien plus craintif que la femelle qui continuait de se nourrir.
Finalement, il s’est levé calmement et s’est dirigé vers la forêt. Malheureusement, il est rapidement passé près de moi,
je n’ai pas pu le prendre en entier.
Madame a bien entendu suivi son compagnon et tous les deux se sont enfoncés dans les sous-bois.
Ça n’a pas l’air, mais les buissons et les herbes hautes m’ont rendu difficile la prise de photos.
FAISAN DE COLCHIDE
Taille : 53 à 89 cm
Envergure : 70 à 90 cm.
Poids : 900 à 1050 g
Longévité : 8 ans
Des scènes superbes, très agréables à regarder, je t’imagine retenant ton souffle pour ne pas les effrayer. La photo où il passe à côté de toi est extraordinaire. C’est curieux que ce soit le mâle le plus craintif, j’ai observé chez d’autres espèces que c’était toujours la femelle. Très belles photos, les herbes t’ont peut-être gênée mais cela ne nuit pas, au contraire, à tes clichés.
Merci alma.
Les mâles sont en général plus agressifs et plus enclins à se défendre.
En fait, j’ai peut-être tort de dire qu’il est plus craintif, il était sur ses gardes et voulait sûrement protéger la femelle.
Je l’entendais l’appeler pour l’inciter à le suivre.
Coucou Katia,
Ce sont vraiment de très beaux oiseaux, et mâle comme femelle, d’ailleurs j’ai un gros coup de coeur pour la dernière photo. C’est un portrait magnifique avec une superbe brillance de l’oeil, et on pourrait lui compter les plumes !
Merci pour cette jolie série et pour son histoire.
Bises et bonne journée.
Merci Pascale,
J’aime aussi beaucoup la dernière même si c’est dommage que les pattes soient coupées, mais on peut bien observer sa jolie tête.
Bises
bonjour, Katia
une belle histoire avec des photos qui sont parlantes et malgré la difficulté un beau temoignage d’échanges de regards.
bravo..
bon week end
à bientot
Merci Christophe, c’est gentil.
Bonne soirée
Bravo pour cette série très plaisante.
Et je n’ai pas de mal à te croire pour la difficulté à réaliser tes photos.
Tout comme Pascale, petit faible pour la dernière que je trouve vraiment excellente.
Merci Lannic. Le téléobjectif aide beaucoup 😉
La dernière est vraiment très réussie et les herbes qui te gênaient donnent ici un joli bokeh
Bien que les herbes soient souvent dérangeantes, ce soir-là, la lumière a été bénéfique.
J’avais loupé l’article précédent, donc je ne risquai pas de la voir 🙂
belle rencontre
la première photo est superbe
Merci Serge, ces rencontres sont toujours des moments agréables.
Bonsoir Katia,
Et moi qui pensais que tu n’avais fait que la photo publiée dans ton précédent article!
Ils sont beaux ces deux faisans et tu as eu raison de ne pas bouger, tu as fait de jolies photos.
Ils t’ont vu et entendu, on le voit bien, mais pas assez inquiets pour s’envoler.
Le mâle a des couleurs plus prononcées mais en regardant ton magnifique portrait de la femelle, je ne saurais choisir.
Bises et bonne soirée
Bonsoir Martine,
Ce sont des habitués de l’endroit, j’ai souvent entendu le cri du mâle, mais je n’avais jamais pu les observer.
Ce soir-là, j’espérais les rencontrer et je n’ai pas été déçue.
Ils sont tous les deux différents, mais tout aussi magnifiques.
Merci pour les photos.
Bises
Elles sont trop belles tes photos, on les voit vraiment bien malgré les herbes. Nous, quand on les voit, nous n’avons pas l’appareil photo, alors, c’est plus flou encore, c’est un peu de la reconnaissance approximative avec la distance quoique à l’automne dernier le faisant était à 2 mètres de moi dans un champ au milieu des colzas qui avaient repoussé sauvages. Il a déboulé vite fait, je n’en suis pas revenue de sa vitesse de course.
Merci Caro.
Les faisans sont rapides et sont aussi très agiles au sol.
Heureusement, ceux qui sont sauvages peuvent ainsi échapper à leurs prédateurs et trouver de la nourriture contrairement aux lâchers qui viendraient presque manger dans la main.